La Régie intermunicipale de traitement des matières résiduelles veut transformer les sacs et les pellicules de plastique pour en faire des produits à valeur ajoutée.
Aux prises avec une difficulté à trouver des acheteurs pour quelques 200 tonnes annuelles de plastique malléable, la régie regarde la possibilité de mettre en place un concept pour les recycler au centre de tri de Grande-Rivière.
La directrice Nathalie Drapeau donne des précisions sur les technologies qui pourraient être utilisées pour créer des produits de valeur ajoutée. Dans un premier temps, celle de fondre les plastiques serait une option:
L’autre possibilité serait d’utiliser un procédé pour soutirer des sacs ou autres dérivés malléables la résine qui sert à fabriquer le plastique pour ensuite créer d’autres produits:
La régie regarde aussi pour augmenter son volume de plastique malléable en ayant des ententes avec des partenaires en dehors de la Gaspésie:
Dès janvier, des études devraient débuter pour évaluer la meilleure option technologique et une autre sur le potentiel économique. Si tout va bien, la Régie intermunicipale de traitement des matières résiduelles souhaite implanter sa nouvelle unité de transformation de plastiques à la fin 2020 ou début 2021.