L’industrie maricole du Québec veut améliorer les outils de financement pour soutenir, notamment, les entreprises de production de moules ou de pétoncles.
Elle réclame le renouvellement du crédit d’impôt à la masse salariale et l’admissibilité des équipements de production au crédit d’impôt à l’investissement.
De plus, elle presse le MAPAQ de soutenir la recapitalisation d’un fonds d’investissement pour suppléer à la réticence des institutions financières à injecter du capital de risque en mariculture.
La Table maricole a adopté, récemment, son nouveau plan stratégique de développement pour les cinq prochaines années.
Le président de la Table maricole, le mytiliculteur madelinot Christian Vigneau, explique que les entreprises stagnent depuis que le fonds d’investissement de la Société de développement de l’industrie maricole a été suspendu après le départ de son directeur général l’été dernier :
De plus, la Table maricole vise l’instauration, l’an prochain, d’un système de gestion du risque, afin de stabiliser les revenus des entreprises, tel qu’il en existe en agriculture :
Le nouveau plan stratégique de la Table maricole mise aussi sur l’amélioration de la productivité des entreprises et l’optimisation de leurs modèles d’affaires, de même que sur le développement des marchés.