Le Parc de Miguasha ainsi que le Parc de l’île-Bonaventure-et-du-Rocher-Percé n’ont pas à craindre que leurs travailleurs partent en grève.
Les employés de la Société des établissements de plein air du Québec ont voté, cet hiver, en faveur d’un mouvement de grève à mettre à exécution si les négociations pour le renouvellement de leur convention collectives s’étaient avérées insatisfaisantes.
Or, une entente de principe est intervenue entre les parties à la fin du mois de juin.
Et les 350 employés de la Sépaq de la Gaspésie, du Bas-Saint-Laurent et de la Côte-Nord ne se prononceront sur cette entente qu’au cours de la seconde ou la troisième semaine du mois de juillet.
D’ici au dévoilement des résultats au début du mois d’août, les gestionnaires de la Société des établissements de plein air du Québec pourront dormir tranquille.
En plus de concerner les travailleurs du Parc de Miguasha, de l’île Bonaventure et du rocher Percé, cette négociation touche les syndiqués de l’auberge Fort- Prével près de Gaspé, du Gîte du Mont-Albert, du Parc de la Gaspésie ainsi qu’à Anticosti.
Elle concerne aussi les réserves fauniques de Port-Daniel et de Matane.
Présidente régionale du Syndicat de la fonction publique et parapublique, Hélène Chouinard explique que si l’entente de principe est rejetée, ce sera probablement le début de moyens de pression plus lourd.
Pour le moment, elle ignore si les syndiqués accepteront la proposition :
Les détails de l’entente seront rendus publics lorsqu’ils seront présentés aux travailleurs