Main d’oeuvre en pêcheries: une rareté

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Les perspectives du secteur des pêches et de la mariculture sont moroses, dans le contexte de rareté de la main-d’œuvre.

C’est ce qui ressort du plus récent diagnostic produit par le Groupe Agéco, pour le compte du Comité sectoriel de main-d’œuvre des pêches maritimes.

Parmi les recommandations pour y remédier, la directrice générale de ce dernier, Marjorie Chrétien, note que les entreprises doivent améliorer les conditions de travail de leurs employés, dont une très faible minorité est syndiquée :

 

Le Comité sectoriel de main-d’œuvre des pêches maritimes doit aussi poursuivre ses efforts de valorisation des métiers du secteur, de même que de leurs formations initiales et continue.

À cet effet, Marjorie Chrétien précise que des démarches seront initiées auprès des jeunes de l’école primaire :

 

Selon l’enquête du Groupe Agéco, les postes de capitaine, de mécanicien/électromécanicien, de contremaître/supervieur, de technicien et d’ouvrier piscicoles sont parmi les plus difficiles à combler.

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