L’enquête du Bureau de la sécurité des transports sur l’écrasement de l’avion aux Îles-de-la-Madeleine pourrait durer plus d’un an.
Les enquêteurs sont sur place depuis mercredi et devraient demeurer aux Îles pour quelques jours afin de trouver des indices sur les causes et les circonstances de cet accident tragique qui a causé la mort de 7 personnes.
Le porte-parole du BST, Chris Krepski, explique que l’absence de boite noire dans ce type d’appareil, un bimoteur Mitsubishi, fait en sorte que les recherches sont plus complexes.
Chris Krepski affirme que les résultats et le rapport sur les causes de l’écrasement pourraient être déposés d’ici un an et plus.
Le bimoteur Mitsubishi, qui s’est écrasé aux îles et transportant Jean Lapierre et les membres de sa famille, était enregistré aux États-Unis. Il était exploité par l’entreprise Aéro Teknic, basée à l’aéroport de Saint-Hubert.
Journaliste : Richard O’Leary