La commission scolaire des Chic-Chocs se défend concernant le jugement qui a été rendu public le 20 décembre 2018 dans le dossier de l’amiante.
Par voie de communiqué émis jeudi dernier, elle soutient que toutes les mesures correctives ont été mises en place en 2016, afin d’éviter que la situation ne se reproduise dans d’autres établissements sous sa gouvernance.
La commission scolaire des Chic-Chocs avait été reconnue coupable d’un constat d’infraction sur les quatre qui lui avait été déposés. L’école Gabriel-Le Courtois de Ste-Anne-des-Monts, avait du être décontaminée de l’amiante en 2016. Le syndicat des enseignants avait alors déposé une plainte pénale contre la Commission.