La Sépaq reconnaît que certains de ses employés grévistes devront patienter avant de toucher de l’assurance-emploi.
La société d’état n’avait toutefois d’autres choix que de se conformer aux règles de la Commission d’assurance-emploi du Canada, plaide son porte-parole, Simon Boivin :
La Sépaq soutient que si l’employé a cumulé suffisamment d’heures pour se qualifier à l’assurance-emploi, il touchera des prestations :
La Société des établissements de plein air du Québec promet qu’elle répondra rapidement aux interrogations de la commission, pour que les dossiers procèdent et que les employés reçoivent les versements auxquels ils ont droit :
Simon Boivin promet que cette inscription ne s’est pas faite de mauvaise foi.