20 ans après l’apparition du bac bleu, on y retrouve encore des matières indésirables surprenantes, comme des pattes d’orignal fraîchement abattu.
C’est ce que les employés de la Régie intermunicipale de traitement de matières résiduelles de Grande-Rivière ont découvert cette semaine.
Laurent Gélinas, chargé de projet à la régie, souligne que bien que les gens trient de mieux en mieux leur déchet avec le temps, il lui arrive encore de tomber sur de grossiers contaminants.
Lorsque des objets gênants trouvent leur chemin jusqu’au centre de tri, l’organisme doit payer pour les envoyer au site d’enfouissement technique. De façon générale, la régie réussit tout de même à récupérer 95 % des matières reçues.