Le CISSS de la Gaspésie ne s’attend pas à résorber son déficit de 40 M$ d’ici la fin de son exercice financier prévu le 31 mars 2025.
Selon la direction, le travail à effectuer pour retrancher des dépenses n’est pas simple et demande une analyse très poussée.
L’une des pistes de solution regardée par le PDG, Martin Pelletier, est celle de revenir aux décisions prises par le ministère de la Santé à partir de 2018-2019 alors que la COVID-19 s’amenait dans le paysage.
À partir de moment, 600 postes à temps complet avaient été créés dans le cadre de différents programmes pour faire face à la pandémie :
Avec la demande de Santé Québec d’effacer le déficit, Martin Pelletier explique que la démarche du CISSS à ce moment-ci est de justifier si les emplois créés sont toujours pertinents :
Dans cet esprit, le PDG veut éliminer l’utilisation de la main d’œuvre indépendante des agences privées afin de pouvoir repositionner son personnel régulier.
Selon Martin Pelletier, ce travail de longue haleine n’aboutira pas pour la fin de l’année fiscale, le 31 mars 2025 :