Le paléobotanisme s’impose de plus en plus comme voie de développement du Parc national de Miguasha.
La falaise du site fossilifère dévoile de très beaux spécimens de plantes, en plus de préserver exceptionnellement les fossiles de poissons.
Le responsable de la conservation et de l’éducation à ce parc, Olivier Maton, note d’ailleurs que la chercheuse paléobotaniste américaine de renom, Patricia Gensel, s’intéresse particulièrement aux plantes fossilisées de l’âge géologique du dévonien trouvées dans la falaise du Parc national de Miguasha. :
La chercheuse Gensel a publié plus de 80 articles scientifique et cinq livres. Olivier Maton espère donc que sa visite ait lieu cette année :
C’est une collaboration très intéressante pour le Parc national de Miguasha. Jusqu’ici, les recherches s’intéressaient davantage aux fossiles de poissons. La connaissance sur les plantes de la même période est plus limitée. Cette nouvelle orientation a permis de récolter cette année, parmi de nombreux autres nouveaux spécimens, un fossile de plante découvert vers la mi-septembre, qui pourrait atterrir dans la salle d’exposition :
Cette nouvelle voie de recherche qui semble s’ouvrir avec la professeure dans le département de biologie de l’Université de la Caroline du Nord pourrait offrir plus de visibilité au parc.