Il y a des craintes de ruptures de service à l’urgence au CLSC de Grande-Vallée, qui inquiète le milieu.
L’arrivée de Santé Québec avec l’obligation pour le CISSS de la Gaspésie de récupérer un déficit de 40 M$ d’ici 31 mars, semble pointer vers différents scénarios en ce qui a trait à l’utilisation du personnel infirmier sur le territoire.
Selon le maire de Grande-Vallée, Noël Richard, des infirmières qualifiées pourraient être remplacées au CLSC par des infirmières auxiliaires pour répondre aux besoins de main-d’œuvre. Il soutient que cette situation menace le maintien du service d’urgence :
Noël Richard donne un exemple qui ferait en sorte qu’il y ait une rupture de service à l’urgence :
Dans des cas importants, les patients devraient être dirigés vers l’hôpital de Gaspé à plus de 100 kilomètres de Grande-Vallée.
Pour le Maire, il s’agit d’un retour en arrière inacceptable, d’autant plus que la population est de plus en plus vieillissante.