Le rapport organisationnel commandé par le CA du Centre de service scolaire des Chic-Chocs conclut qu’il y avait bel et bien un climat de travail malsain persistant au sein de l’organisme.
L’élément déclencheur de ce dernier a été la démission de près de la moitié des membres du conseil d’administration en mars 2021 qualifiant le climat avec la direction générale de difficile. Cela avait mené ensuite le ministère de l’Éduction à entendre des témoignages d’employés du CSS des Chic-Chocs.
Selon la présidente du CA, Julie Pariseau, le document démontre bien qu’il y avait un problème :
Le président du comité d’éthique et de gouvernance et administrateur sur le conseil, Yves Galipeau, fait état du rôle des membres au CA à l’époque avec un nouveau mode de gouvernance en passant par les employés :
Questionnée sur le rôle qu’aurait pu jouer la direction générale pour mener à un tel constat, la directrice par intérim, Josée Synnott, précise qu’il y avait d’autres éléments à tenir en compte. Elle confirme que le climat malsain existait avant la modification de mode de gouvernance avec les centres de service scolaire :
Pour ramener une santé organisationnelle plus saine, le conseil d’administration a jugé primordial de mettre en place un plan d’action. La directrice, Josée Synnott :
Déjà des éléments ont été instaurés pour améliorer la situation et la direction se donne jusqu’en 2024 pour appliquer les recommandations du plan. Elle souligne aussi que le climat de l’organisation est maintenant grandement amélioré.