Parallèlement à ses travaux en mer pour maximiser l’utilisation de la boëtte traditionnelle, Merinov mène des recherches en laboratoire pour développer des appâts alternatifs pour la pêche au homard.
Le biologiste Jean-François Laplante explique qu’on a réussi, l’an dernier, à identifier les molécules attractives de six types d’appât, dont le loup-marin.
Ce sont les chercheurs du laboratoire de chimie analytique à Gaspé qui sont mis à contribution :
Cette année, les recherches se poursuivent pour identifier le type de matrice qu’il serait le plus économiquement profitable à agencer avec les molécules d’appât.
Jean-François Laplante précise que cette matrice doit pouvoir se dégrader adéquatement dans des températures variant entre un et 14 degrés Celsius :
Les essais en mer de ces appâts alternatifs sont prévus pour la saison 2015.