L’école des pêches et de l’aquaculture du Québec à Grande-Rivière disposera d’un sursis de deux ans pour trouver une solution à sa déficience d’achalandage.
Le ministre de l’éducation Yves Bolduc annonce que l’établissement de Grande-Rivière gardera son statut d’école nationale pour encore deux ans, ce qui donnera un sursis à ses administrateurs pour y attirer une clientèle.
De plus amples pouvoirs seront confiés à la direction de l’établissement pour élaborer un nouveau plan d’affaires et un modèle de gouvernance, en collaboration avec le ministère de l’éducation.
Le ministre Bolduc ajoute que le financement accordé à l’école des pêches et de l’aquaculture sera également maintenu pour deux ans, en dépit de la clientèle insuffisante.
De son côté, le ministre responsable de la région, Jean-d’Amour, affirme que le rôle de l’ÉPAQ s’inscrit dans le cadre de la stratégie maritime dont il est en charge, et que pour cette raison, il sera porteur du dossier.
C’était un reportage d’Ariane Aubert Bonn