Merinov doit désormais facturer ses services d’aide technique dispensés auprès de sa clientèle de l’industrie de la pêche et de l’aquaculture.
Son directeur général, David Courtemanche, explique que c’est pour compenser la baisse de 25 pour cent du budget que lui accorde le ministère québécois des pêcheries.
Sa nouvelle politique de tarification, qui fait actuellement l’objet d’une consultation, entrera en vigueur le premier avril :
David Courtemanche affirme que le concept de l’utilisateur-payeur est bien reçu par l’industrie, qui contribue déjà aux projets de recherche et développement qui la concerne. En échange toutefois, elle demande à Merinov davantage de services de proximité et d’expertise de pointe :
Le directeur général de Merinov précise que le vieillissement de la main d’œuvre est le principal enjeu de l’industrie de la pêche et de l’aquaculture. La mécanisation des équipements, l’innovation technologique et l’amélioration des conditions de travail en usine comptent parmi les défis d’adaptation à relever.